Pleins feux sur les clients PJ : Maison Rondeau

Lancée en 1934 avec l'acquisition d'une entreprise existante, l'aventure Maison Rondeau en est aujourd'hui à sa quatrième génération, et la petite entreprise familiale est plus forte que jamais ! Distributeur d'équipements de cuisine commerciale et d'accessoires culinaires, Maison Rondeau offre également des conseils personnalisés et judicieux à ceux qui démarrent leur propre entreprise de restauration. La mission de l'entreprise est de fournir les meilleurs équipements et fournitures de cuisine commerciale qui répondent aux besoins de sa clientèle tout en s'alignant sur sa vision. : améliorer l'expérience de toutes les personnes impliquées dans la logistique des cuisines commerciales tout en créant de la valeur.M. Louis-André Rondeau a eu la gentillesse de répondre à nos questions. Pages Jaunes : Qu'est-ce qui vous distingue le plus de vos concurrents canadiens ?Louis-André Rondeau : La concurrence est assez féroce. Il y a peut-être trois ou quatre grands acteurs dans la province. Nous sommes un peu plus petits, mais nous avons beaucoup de stock. C'est quelque chose qui nous distingue. Les gens, quand leur frigo tombe en panne, ils en ont besoin immédiatement. Chez nous, plus besoin d'attendre, nous les avons en stock. Nous offrons un service personnalisé qui répond à des besoins spécifiques. Nous travaillons en collaboration avec nos fournisseurs. Lorsque le fournisseur est plus spécialisé que nous sur un produit, nous n'avons pas peur de l'impliquer dans la démarche, de l'envoyer sur place. YP : À quelle étape de votre développement vous êtes-vous tourné vers Pages Jaunes et à quels besoins souhaitiez-vous répondre à ce moment-là ? Quels services recevez-vous de PJ? Comment ont-ils évolué au fil du temps ? LR : Nous travaillons chez Pages Jaunes depuis environ 10 ans maintenant. Ce sont vraiment eux qui nous ont fait passer au numérique. Nous travaillions avec le téléphone et le papier. On avait un peu peur de ça. Puis, petit à petit, nous avons créé un site internet avec eux, nous avons acheté des optimisations de mots clés Google, des bannières… Nous avons vraiment commencé petit, puis après, nous étions avec la gamme complète de services. Actuellement, nous avons un peu diminué à cause du COVID . Nous avons dû nous adapter car le secteur de la restauration a été durement touché. Nous avions des publicités sur YouTube. Nous avions à peu près tout à disposition. YP : Vous considérez vos clients comme des partenaires. Voyez-vous votre relation avec l’équipe YP sous le même angle ? LR : Oui, c'est un partenariat. Nous avons des réunions tous les mois, toujours le même jour. Nous avons un appel vidéo. Nous discutons des résultats du mois dernier. On voit si ça s'est bien passé, on fait des corrections ; parfois c'est saisonnier, comme les machines à glace en été. Lors de la dernière réunion, nous avons retiré toutes les promotions sur les meubles de patio. Nous y mettions moins d’argent. Nous visons donc à optimiser le budget, à mieux cibler les besoins actuels de la clientèle, puis nous regardons ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Nous sommes en train de développer de nouveaux marchés avec eux, notamment au Nouveau-Brunswick et dans les Maritimes. Aujourd'hui, si nous n'avions pas le numérique, nous ne serions peut-être plus là. Ils sont véritablement un partenaire clé. PJ : Comment votre partenariat avec PJ a-t-il amélioré votre productivité et la qualité de vos relations avec vos clients existants et futurs ? Comment êtes-vous arrivé au sommet de votre secteur ?LR : Cela nous a aidé, notamment en termes de prospection de clients. Beaucoup de gens ne nous connaissaient pas. Nous étions surtout connus à Québec. Maintenant, notre territoire de vente est vraiment devenu toute la province. Notre camion se rend à Montréal chaque semaine, ce que nous ne faisions pas auparavant. Nous nous sommes fait connaître partout : dans les institutions publiques, les garderies, les restaurants, mais aussi dans les commerces où nous ne vendrions pas normalement. Il peut s'agir de dépanneurs ou de centres sportifs qui ont besoin de réfrigérateurs. Ce n'était pas forcément notre clientèle cible au départ, mais ce sont des gens qui ont besoin de nos produits. Pages Jaunes est donc un très bon partenaire pour développer de nouveaux marchés. Nous travaillons sur deux fronts : nous développons notre image de marque et nous travaillons avec Pages Jaunes sur les réseaux sociaux. Ils gèrent nos publications, ils font nos publicités sur Facebook. Et puis, il y a le côté « vente » de nos produits avec le site internet et le catalogue. YP : On dit que le succès repose sur les erreurs commises en cours de route. Comment avez-vous surmonté ces « erreurs » ?LR : Il faut toujours s'entourer de personnes spécialistes de ce qu'on connaît moins bien. De notre côté, ce qui est important, puisque nous ne sommes pas forcément le premier acteur de notre secteur, c'est d'avoir de bonnes relations avec nos fournisseurs et des partenariats à long terme. Nous souhaitons devenir des acteurs privilégiés, nous nous engageons donc sur le long terme.